- EAN13
- 9782081443471
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 07/01/2009
- Collection
- Champs Histoire
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L'Identité de la France (Tome 3) - Les hommes et les choses II
Fernand Braudel
Flammarion
Champs Histoire
Autre version disponible
-
Papier - Flammarion 11,20
Les deux volumes formant le second volet de L’Identité de la France – Les
hommes et les choses – s’organisent autour de deux thèmes, étudiés dans la
longue durée : la démographie et l’économie. Le second volume s’intéresse à la
longue primauté de l’» économie paysanne» en France – forme d’économie globale
où la vie rurale est encore dominante par rapport à d’autres activités,
industrielles et commerciales. Tous les pays d’Europe ont vécu, des siècles
durant, en «économie paysanne» et tous s’en sont dégagés plus ou moins vite.
La France plus lentement que quelques autres. Cette économie de la France
d’hier est d’abord présentée dans son infrastructure : la vie rurale elle-
même, avec son poids démographique, les rythmes que lui impose la nature, la
lente évolution de ses techniques, le rôle des nouvelles cultures importées du
Nouveau Monde, la place respective de l’élevage, de la vigne, des céréales, de
la forêt… Le second chapitre est consacré aux superstructures, plus sujettes
au changement et aux ruptures, et montre comment les villes, l’avènement de la
grande industrie, le commerce, les progrès des moyens de transport, le
développement du crédit et du capitalisme modernes ont été les instruments
d’une déformation progressive de l’économie paysanne. Jusqu’à l’irruption
d’une autre économie, et à l’émergence d’une autre France à travers les
turbulences, les changements et les violences de la contemporanéité.
hommes et les choses – s’organisent autour de deux thèmes, étudiés dans la
longue durée : la démographie et l’économie. Le second volume s’intéresse à la
longue primauté de l’» économie paysanne» en France – forme d’économie globale
où la vie rurale est encore dominante par rapport à d’autres activités,
industrielles et commerciales. Tous les pays d’Europe ont vécu, des siècles
durant, en «économie paysanne» et tous s’en sont dégagés plus ou moins vite.
La France plus lentement que quelques autres. Cette économie de la France
d’hier est d’abord présentée dans son infrastructure : la vie rurale elle-
même, avec son poids démographique, les rythmes que lui impose la nature, la
lente évolution de ses techniques, le rôle des nouvelles cultures importées du
Nouveau Monde, la place respective de l’élevage, de la vigne, des céréales, de
la forêt… Le second chapitre est consacré aux superstructures, plus sujettes
au changement et aux ruptures, et montre comment les villes, l’avènement de la
grande industrie, le commerce, les progrès des moyens de transport, le
développement du crédit et du capitalisme modernes ont été les instruments
d’une déformation progressive de l’économie paysanne. Jusqu’à l’irruption
d’une autre économie, et à l’émergence d’une autre France à travers les
turbulences, les changements et les violences de la contemporanéité.
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