- EAN13
- 9782350687988
- Éditeur
- Éditions Cairn
- Date de publication
- 05/06/2019
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Cairn 20,00
Qui, en dehors d’un petit monde clos, connaît, en France, nos forestiers ?
André Valéry, qui fut l’un d’eux pendant une quarantaine d’années, raconte,
dans un roman passionnant qu’il a situé dans les Pyrénées où il s’est retiré,
ce qu’était la vie de ces hommes rudes dans les années 50. Au cœur de la
grande hêtraie, coiffée au ras des pâturages par la futaie de sapin,
travaillaient alors ceux qui ont donné à la forêt montagnarde son aspect
actuel. Ingénieurs et gardes des Eaux et Forêts, exploitants forestiers,
bûcherons et câblistes, parfois français, souvent immigrés, muletiers,
scieurs, tous l’ont modelée, avec leurs cerveaux, leurs bras et leurs cœurs.
S’ils ont peiné en forêt, s’ils y ont parfois laissé leur vie ou leur santé,
ils y ont aussi vécu pleinement leur existence d’hommes, avec des joies, des
plaisirs, des amitiés, des jalousies et aussi des haines exacerbées par le
danger permanent qui pèse sur ces professions à haut risque. Les tensions qui
régnaient au sein de ces groupes d’hommes débouchaient parfois sur des drames,
comme celui qui scella le destin de Mayalène, la trop jolie petite Basquaise.
André Valéry, qui fut l’un d’eux pendant une quarantaine d’années, raconte,
dans un roman passionnant qu’il a situé dans les Pyrénées où il s’est retiré,
ce qu’était la vie de ces hommes rudes dans les années 50. Au cœur de la
grande hêtraie, coiffée au ras des pâturages par la futaie de sapin,
travaillaient alors ceux qui ont donné à la forêt montagnarde son aspect
actuel. Ingénieurs et gardes des Eaux et Forêts, exploitants forestiers,
bûcherons et câblistes, parfois français, souvent immigrés, muletiers,
scieurs, tous l’ont modelée, avec leurs cerveaux, leurs bras et leurs cœurs.
S’ils ont peiné en forêt, s’ils y ont parfois laissé leur vie ou leur santé,
ils y ont aussi vécu pleinement leur existence d’hommes, avec des joies, des
plaisirs, des amitiés, des jalousies et aussi des haines exacerbées par le
danger permanent qui pèse sur ces professions à haut risque. Les tensions qui
régnaient au sein de ces groupes d’hommes débouchaient parfois sur des drames,
comme celui qui scella le destin de Mayalène, la trop jolie petite Basquaise.
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