Depuis le départ de sa mère, Abel est élevé d’une main de fer par un père rongé par le chagrin. Un mot, un geste, un affrontement de trop, qui laissera dans le cœur d’Abel des séquelles profondes et, sur son torse, une marque indélébile. Accompagné de son ami le plus fidèle, un « Jiminy Cricket » aux allures de renard, le jeune garçon choisira de fuir pour mieux se reconstruire loin de la violence paternelle. Un périple à travers un pays fantastique marqué par des rencontres toujours plus extraordinaires, au cours duquel Abel devra se poser les bonnes questions s’il veut surmonter ses erreurs passées et se réconcilier avec son histoire de famille.
Maëlle, jeune illustratrice de 30 ans de Saint-Etienne, décide de s'envoler au Japon avec l'objectif de réaliser un carnet de voyage. Sur ma Planète Japon est un carnet de voyage décalé, poétique et drôle dessinant la découverte du Japon par une jeune Française. Elle traverse le pays et croque son quotidien et ses aventures, en jonglant entre le couchsurfing, le workaway et l'autostop. Souvent de belles rencontres, parfois des mauvaises surprises. Maëlle raconte ses découvertes et ses aventures, loin des clichés, mêlant ses illustrations fraîches et sensibles à un sens de la narration.
Esther entre en troisième ! C’est l’année de ses 15 ans.
Elle est en couple avec Abdelkrim (c’est privé, désolé), se paie des délires de ouf avec ses meufs Éva et Léa, se prend la tête avec des redoublantes trop féminines, organise sa première grande soirée d’anniversaire (avec de l’alcool, oui de l’alcool), expérimente la cigarette et crée (enfin) son profil Instagram, qui attire immanquablement les psychopathes.
Puis tout est chamboulé par l’arrivée du coronavirus, qui était censé être une grippette… C’est le confinement. Entre ses cours en visio, son père stressé par la pénurie de masques et de gel hydroalcoolique, sa mère en télétravail et son frère complotiste fan de Didier Raoult, le quotidien d’Esther est bouleversé… Mais pleine d’optimisme, elle imagine son « monde d’après ».
La série :
Les Cahiers d’Esther a été initiée par Riad Sattouf en 2015 avec une idée un peu folle : se faire le porte-voix d’une jeune fille d’aujourd’hui pour assister, année après année, à ses transformations, et montrer l’évolution de notre société à travers ses yeux.
Chaque semaine, la jeune fille anonyme qui se cache derrière Esther se confie à Riad Sattouf. Elle lui raconte son quotidien, ses états d’âme, sa vision du monde. Riad Sattouf les met ensuite en mots et en images pour composer une planche de bande dessinée, prépubliée dans L’Obs.
Les planches correspondantes à une année scolaire sont réunies en albums. Le premier tome, consacré à l’année de CM1 et aux 10 ans d’Esther, est sorti en 2016. Le dernier tome sortira en 2024, l’année de ses 18 ans.
Histoires d’enfants pas forcément pour les enfants, témoignage sur notre époque, Les Cahiers d’Esther embarque le lecteur pour un voyage quelque peu agité : suivre, pendant neuf ans, les métamorphoses d’une enfant en adulte.