Les favoris de la reine, Dans l'intimité de Marie-Antoinette
EAN13
9791021036635
Éditeur
Tallandier
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
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Les favoris de la reine

Dans l'intimité de Marie-Antoinette

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16 mai 1770. Marie-Antoinette épouse à Versailles celui qui deviendra Louis
XVI. D’abord émerveillée par les fastes de la cour, la jeune dauphine se lasse
rapidement des devoirs de sa charge. Pour fuir les contraintes imposées par
l’étiquette, elle se retire dès qu’elle le peut en compagnie de quelques
privilégiés, le cercle des favoris de la reine. Alors que nul n’ignore ses
déboires conjugaux, la reine est vue à Paris au bal de l’Opéra avec le comte
d’Artois, à Versailles avec le beau Lauzun, volage et inconstant, avec le
médisant baron de Besenval, le capricieux comte de Vaudreuil, le docile comte
Esterhazy, ou encore le ténébreux comte de Fersen. Loin de garder la réserve
habituelle des reines de France, Marie-Antoinette entend vivre comme bon lui
semble, malgré les fréquentes remontrances de l’impératrice Marie-Thérèse.
Elle goûte par-dessus tout la joie de retrouver ses amis en des lieux fermés
au reste de la cour, voués à l’intimité et au délassement : « Ici je ne suis
pas la reine, je suis moi. » À la cour comme à la ville, les rapports de
Marie-Antoinette aux hommes font beaucoup jaser – ce qui n’empêche pas nombre
de courtisans de briguer la place de favori dans son cœur. De Versailles à
Trianon, les intrigues se nouent et se défont entre les candidats et leurs
soutiens, au gré des caprices de la reine. 16 mai 1770. Marie-Antoinette
épouse à Versailles celui qui deviendra Louis XVI. D’abord émerveillée par les
fastes de la cour, la jeune dauphine se lasse rapidement des devoirs de sa
charge. Pour fuir les contraintes imposées par l’étiquette, elle se retire dès
qu’elle le peut en compagnie de quelques privilégiés, le cercle des favoris de
la reine. Alors que nul n’ignore ses déboires conjugaux, la reine est vue à
Paris au bal de l’Opéra avec le comte d’Artois, à Versailles avec le beau
Lauzun, volage et inconstant, avec le médisant baron de Besenval, le
capricieux comte de Vaudreuil, le docile comte Esterhazy, ou encore le
ténébreux comte de Fersen. Loin de garder la réserve habituelle des reines de
France, Marie-Antoinette entend vivre comme bon lui semble, malgré les
fréquentes remontrances de l’impératrice Marie-Thérèse. Elle goûte par-dessus
tout la joie de retrouver ses amis en des lieux fermés au reste de la cour,
voués à l’intimité et au délassement : « Ici je ne suis pas la reine, je suis
moi. » À la cour comme à la ville, les rapports de Marie-Antoinette aux hommes
font beaucoup jaser – ce qui n’empêche pas nombre de courtisans de briguer la
place de favori dans son cœur. De Versailles à Trianon, les intrigues se
nouent et se défont entre les candidats et leurs soutiens, au gré des caprices
de la reine.
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