- EAN13
- 9782226009609
- ISBN
- 978-2-226-00960-9
- Éditeur
- Albin Michel
- Date de publication
- 07/05/1980
- Collection
- A.M. G.TRADUCT
- Séries
- Nouvelles africaines . (1)
- Nombre de pages
- 384
- Dimensions
- 22,5 x 14,5 cm
- Poids
- 461 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
1 - Nouvelles africaines - tome 1
De Doris Lessing
Traduit par Marianne Véron
Albin Michel
A.M. G.Traduct
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Autre livre dans la même série
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Nouvelles africaines ., 2, La Madone noire, Nouvelles africaines - tome 2Doris LessingAlbin Michel
Dans ces nouvelles, Doris Lessing nous présente au microscope l'enchevêtrement des comportements raciaux en Rhodésie et en Afrique du Sud, où le progressisme et la bonne volonté individuels ne peuvent mener qu'à des malentendus porteurs de catastrophes.
Rapports entre noirs et blancs, mais aussi entre Afrikaners et Anglais, et entre leurs attitudes contradictoires vis-à-vis des noirs.
« Quand je pense à tout ce que nous avons fait pour eux », s'indignent les blancs, abasourdis par l'ingratitude de leurs domestiques et de leurs ouvriers qui, sans eux, seraient encore des sauvages...
L'incomréhension engendre la rancune, elle-même mère de la haine et de la délinquance.
L'auteur du Carnet d'or nous montre également le processus d'appauvrissement, au rythme des saisons et à la mesure de leur ignorance, des « petits blancs » terrorisés par la menace de tomber au niveau des noirs. Tous ces personnages fragiles se débattent dans la turbulence organique de l'Afrique, qui tend à anéantir toutes leurs précieuses illusions de civilisation dès que se relâchent leurs vigilants efforts - de même que les racines des arbres abattus repoussent et soulèvent chaque année le dallage des maisons, comme pour leur rappeler la permanence africaine sous le vernis éphémère de la présence blanche.
Rapports entre noirs et blancs, mais aussi entre Afrikaners et Anglais, et entre leurs attitudes contradictoires vis-à-vis des noirs.
« Quand je pense à tout ce que nous avons fait pour eux », s'indignent les blancs, abasourdis par l'ingratitude de leurs domestiques et de leurs ouvriers qui, sans eux, seraient encore des sauvages...
L'incomréhension engendre la rancune, elle-même mère de la haine et de la délinquance.
L'auteur du Carnet d'or nous montre également le processus d'appauvrissement, au rythme des saisons et à la mesure de leur ignorance, des « petits blancs » terrorisés par la menace de tomber au niveau des noirs. Tous ces personnages fragiles se débattent dans la turbulence organique de l'Afrique, qui tend à anéantir toutes leurs précieuses illusions de civilisation dès que se relâchent leurs vigilants efforts - de même que les racines des arbres abattus repoussent et soulèvent chaque année le dallage des maisons, comme pour leur rappeler la permanence africaine sous le vernis éphémère de la présence blanche.
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