- EAN13
- 9782200636708
- Éditeur
- Armand Colin
- Date de publication
- 22/02/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Armand Colin 29,00
La pandémie de Covid19 a mis en évidence à quel point les processus de
propagation affectent nos vies en profondeur. Mais elle révèle également
l’existence conjointe d’une propagation d’un tout autre ordre : celle des
informations, des consignes, des données, des rumeurs et des fake news. Si ce
paradigme de la propagation est déjà utilisé dans de nombreuses disciplines
(des sciences naturelles ou sociales), il n’a cependant pas obtenu un statut
spécifique.
Cet ouvrage, en faisant le tour d’horizon de tous les travaux qui adoptent ce
point de vue, a pour ambition de montrer la fécondité d’une approche des
sociétés sous l’angle de la propagation, à côté de l’analyse traditionnelle
des structures sociales et des préférences individuelles.
En s’appuyant sur les méthodes du Big Data offertes par le numérique et la
traçabilité généralisée de nos comportements, il propose une nouvelle façon de
quantifier le social, comme processus de propagation, et non plus seulement à
partir des recensements et des sondages. Cette première théorie sociale de la
propagation, illustrée par de nombreux exemples (coronavirus et réseaux
sociaux, affaire Griveaux, ligue du Lol, mème Pepe the frog, MeToo, etc.)
propose ainsi aux étudiants mais aussi aux décideurs et au public cultivé une
nouvelle grille de lecture de la société directement en prise avec nos
expériences.
propagation affectent nos vies en profondeur. Mais elle révèle également
l’existence conjointe d’une propagation d’un tout autre ordre : celle des
informations, des consignes, des données, des rumeurs et des fake news. Si ce
paradigme de la propagation est déjà utilisé dans de nombreuses disciplines
(des sciences naturelles ou sociales), il n’a cependant pas obtenu un statut
spécifique.
Cet ouvrage, en faisant le tour d’horizon de tous les travaux qui adoptent ce
point de vue, a pour ambition de montrer la fécondité d’une approche des
sociétés sous l’angle de la propagation, à côté de l’analyse traditionnelle
des structures sociales et des préférences individuelles.
En s’appuyant sur les méthodes du Big Data offertes par le numérique et la
traçabilité généralisée de nos comportements, il propose une nouvelle façon de
quantifier le social, comme processus de propagation, et non plus seulement à
partir des recensements et des sondages. Cette première théorie sociale de la
propagation, illustrée par de nombreux exemples (coronavirus et réseaux
sociaux, affaire Griveaux, ligue du Lol, mème Pepe the frog, MeToo, etc.)
propose ainsi aux étudiants mais aussi aux décideurs et au public cultivé une
nouvelle grille de lecture de la société directement en prise avec nos
expériences.
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