D'archives et de mémoire... Faits politiques et socio-sanitaires au Congo-Brazzaville de 1957 à 2003
EAN13
9782811116644
Éditeur
Karthala
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
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D'archives et de mémoire... Faits politiques et socio-sanitaires au Congo-Brazzaville de 1957 à 2003

Karthala

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Alphonse Jean-Pâris Mpassy-Nzoumba est né le 13 mars 1937 à Bacongo-
Brazzaville. Ancien élève de l’école Saint-Joseph de Bacongo et du lycée
Savorgnan de Brazza, il entre en octobre 1958 à l’École Inter États des Élèves
Infirmiers et Infirmières d’État à Brazzaville. De 1961 à 1963, il est à
l’École nationale de Santé publique de Rennes (France) pour une formation
d’Administrateur de Santé. Au Congo-Brazzaville, il occupe ensuite
successivement les fonctions de : Gestionnaire de l’hôpital Adolphe Sicé de
Pointe-Noire (septembre 1963-janvier 1964) ; Chef des services administratifs
et du personnel à la direction générale de la Santé publique (1964-1969) ;
Directeur de la Maternité Blanche Gomes (1969-1971). En 1971, il est admis au
concours d’entrée à l’IIAP (Institut International d’Administration Publique)
de Paris, annexe de l’École nationale d’administration française. Il s’inscrit
simultanément à l’Université Paris I où il obtient un DEUG (Diplôme d’Études
Universitaires Générales) et une licence de Sciences politiques. En octobre
1977, sur décision du Comité militaire du Parti (CMP), il est rappelé à
Brazzaville pour prendre la direction de l’hôpital de base de Makélékélé,
poste qu’il va occuper pendant près de quinze ans. En novembre 1997, le
Ministre de la Santé et de la Population, Mamadou Kamara Dekamo, l’appelle au
département pour coordonner les activités du groupe de consultants mis en
place par le Ministre. Il s’agit de relancer les activités d’un département
déserté par plusieurs cadres, suite à la guerre du 5 juin 1997. La mission des
consultants va durer pendant toute la transition flexible de 1997 à 2002. En
prenant l’initiative d’écrire ces lignes, l’auteur voudrait inviter d’autres
compatriotes de la Société civile à donner leurs souvenirs ou version des
faits sur les différentes périodes de notre histoire brazzavilloise et
congolaise, afin que l’analyse de toutes les versions de faits puisse
permettre l’écriture d’une véritable histoire, débarrassée des manipulations
opportunistes de tous bords.
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