- EAN13
- 9782912667922
- ISBN
- 978-2-912667-92-2
- Éditeur
- Finitude
- Date de publication
- 18/05/2011
- Collection
- FINITUDE
- Nombre de pages
- 114
- Dimensions
- 22 x 15 x 0,1 cm
- Poids
- 232 g
- Code dewey
- 846
- Fiches UNIMARC
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La seconde livraison de la revue Capharnaüm est entièrement consacrée à la publication de la correspondance de
Jean-Pierre Martinet avec Alfred Eibel.
Printemps 1971. Jean-Pierre Martinet a 27 ans, il a terminé l’IDHEC, l’école du cinéma, et travaille à l’ORTF
comme assistant-réalisateur, il est plein d’espoir, rêve de cinéma et un peu de littérature. Alfred Eibel, lui, a 39 ans, il
est journaliste et rêve de lancer sa maison d’édition. Ils ont un ami commun, Michel Marmin, qui les enrôle tous les
deux dans son rêve à lui : une revue littéraire, Matulu. Coup de foudre immédiat entre Jean-Pierre et Alfred. Un point
de départ.
Printemps 1979. Matulu est mort depuis longtemps. Alfred Eibel est devenu éditeur et Jean-Pierre Martinet n’a
jamais fait de cinéma. Il a juste écrit deux romans, la Somnolence et Jérôme, deux fiascos. Dégoûté par la télé, il a
démissionné, il est retourné chez sa mère, à Libourne, où il attend une rentrée d’argent qui lui permettrait d’ouvrir
une petite librairie. N’importe où, sauf à Paris. Les deux inséparables sont séparés, ils commencent à s’écrire.
Sombres, désespérées, belles, ces lettres nous montrent un écrivain à la dérive qui a fini par ouvrir une petite maison
de la presse à Tours grâce à laquelle il vivote. Il parle littérature, cinéma, de ses goûts et surtout de ses dégoûts, de son
écriture aussi, un peu. D’autant que la publication en 1987 de l’Ombre des forêts (la Table Ronde) et de Ceux qui n’en
mènent pas large (le dilettante), lui redonne, une dernière fois l’espoir de trouver quelques lecteurs. Mais ce seront
encore des échecs... Il ne s’en relèvera pas, il n’a plus la moindre illusion, il ne lui reste alors plus que l’alcool.
La trentaine de (longues) lettres inédites que nous publions ici constitue l’unique témoignage de première main sur
la vie de Martinet que nous ayons à ce jour.
Jean-Pierre Martinet avec Alfred Eibel.
Printemps 1971. Jean-Pierre Martinet a 27 ans, il a terminé l’IDHEC, l’école du cinéma, et travaille à l’ORTF
comme assistant-réalisateur, il est plein d’espoir, rêve de cinéma et un peu de littérature. Alfred Eibel, lui, a 39 ans, il
est journaliste et rêve de lancer sa maison d’édition. Ils ont un ami commun, Michel Marmin, qui les enrôle tous les
deux dans son rêve à lui : une revue littéraire, Matulu. Coup de foudre immédiat entre Jean-Pierre et Alfred. Un point
de départ.
Printemps 1979. Matulu est mort depuis longtemps. Alfred Eibel est devenu éditeur et Jean-Pierre Martinet n’a
jamais fait de cinéma. Il a juste écrit deux romans, la Somnolence et Jérôme, deux fiascos. Dégoûté par la télé, il a
démissionné, il est retourné chez sa mère, à Libourne, où il attend une rentrée d’argent qui lui permettrait d’ouvrir
une petite librairie. N’importe où, sauf à Paris. Les deux inséparables sont séparés, ils commencent à s’écrire.
Sombres, désespérées, belles, ces lettres nous montrent un écrivain à la dérive qui a fini par ouvrir une petite maison
de la presse à Tours grâce à laquelle il vivote. Il parle littérature, cinéma, de ses goûts et surtout de ses dégoûts, de son
écriture aussi, un peu. D’autant que la publication en 1987 de l’Ombre des forêts (la Table Ronde) et de Ceux qui n’en
mènent pas large (le dilettante), lui redonne, une dernière fois l’espoir de trouver quelques lecteurs. Mais ce seront
encore des échecs... Il ne s’en relèvera pas, il n’a plus la moindre illusion, il ne lui reste alors plus que l’alcool.
La trentaine de (longues) lettres inédites que nous publions ici constitue l’unique témoignage de première main sur
la vie de Martinet que nous ayons à ce jour.
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