Langages poétiques de G. Schehadé, à la page, à la scène, à l'écran

L. Denooz et N. Abi-Rached, « Introduction » - Y. Hoffert, « "Le fil d'or de la poésie". Visages de la poésie dans l'oeuvre de Georges Schehadé » ◊ portraits d'auteur ◊ S. Stétié, « Schehadé, Georges (1910-1989) » - A. Dichy, « Georges Schehadé, portrait de profil » ◊ regards sur les poésies ◊ M. Deguy, « Schehadé, la poésie » - J.-Y. Masson, « "Le Temps est innocent des choses". Du refus de l'Histoire à l'espérance prophétique dans Les Poésies » - E. Rubio, « Ancrage poétique de Rodogune Sinne. "Quand je devins orphelin..." » - M. Badr, « Pour une lecture du "Récit de l'an zéro" » ◊ Une poésie de théâtre ◊ M. Corvin, « Schehadé, dramaturge de la pièce-itinéraire » - M.-C. Hubert, « Schehadé, un théâtre en liberté » - C. Flicker, « Le théâtre de Schehadé. L'héritage surréaliste en question » - F. Fix, « L'Habit fait le prince, les silences du théâtre » - S. Gaillard, « Georges Schehadé au travail avec Jean-Louis Barrault » - B. Barut, « Les didascalies de Schehadé. De l'orthodoxie au réenchantement » - L. Denooz et Y. Hoffert, « Goha, entre hybridité interculturelle et aventure poétique » ◊ Autour de Monsieur Bob'le et de la Soirée des Proverbes ◊ C. Clara, « Étrange Monsieur Bob'le » - D. Baglione, « Monsieur Bob'le, une figure de l'exil » - N. Macé, « Les représentations énigmatiques du poète dans Monsieur Bob'le et La Soirée des proverbes » - P. Lefebvre, « Jeux et enjeux du christianisme et de la poésie dans La Soirée des proverbes de Schehadé » - J.-L. Benoit, « À propos de la mise en scène de Monsieur Bob'le » ◊ figures et thématiques privilégiées ◊ T. Wehbe, « La traversée des jardins dans la poétique schehadienne » - F. Bombard, « Présence de la nature dans Poésies II de Georges Schehadé » - S. Martin, « Chasse et chasseurs chez Schehadé » - G. Ernst, « Pour le privilège de la mort » - B. Tritsmans, « Le mage et ses fantômes. De Khalil Gibran à Georges Schehadé » ◊ clôture (réouverture) ◊ - Y. Hoffert, « "Nous retrouver dans le silence pour entendre une langue impossible". Entretien avec Jean-Pierre Siméon »