pour comprendre les migrations

15,90

Pour fuir la guerre, deux enfants et leur maman se lancent dans un long et dangereux voyage loin de leur pays. Passer la frontière, traverser la mer, se cacher, sans jamais perdre espoir... Leur chemin est celui de tous ceux qui tentent de trouver un endroit où vivre en paix.
Un album magnifique et sensible, pour évoquer simplement avec les petits l'exil, la migration vers l'inconnu d'un monde nouveau. À partir de 5 ans.


Bayard Jeunesse

11,90

Une tempête s'annonce. Chaque famille se prépare et fait des provisions avant de s'enfermer, bien au chaud.
Mais deux étrangers avancent dans le froid. Ils ont été surpris par la tempête. Qui sont ces gens ? Que veulent-ils donc ?
La méfiance amène les habitants de la forêt à fermer leur porte et leur coeur.
Heureusement, un acte de bonté survient...

Les images de Qin Leng à l'encre et à l'aquarelle rendent infiniment sensible tout ce petit monde soumis aux dures lois de la nature, et la narration progresse avec des mots simples et justes vers un renversement inattendu.

Cet album d'une grande élégance nous montre, sans moralisme, à quel point celui qui a besoin d'aide aujourd'hui, sera peut-être nous, demain.

Une histoire d'accueil et de partage qui résonne particulièrement au moment des fêtes de Noël, et avec l'actualité des réfugiés.


Gallimard Jeunesse

14,90

Là, sur la plage, la petite fille ne dort pas, elle ne rêve pas, elle a rêvé. Devant, dans un bleu très bleu, la Méditerranée se souvient.


Eglal Errera

Actes Sud

La Rebecca des "Premiers jours" a maintenant 14 ans, exilée à Paris avec sa famille depuis trois ans. Elle revient à Alexandrie pour de courtes vacances. Bonnes et mauvaises retrouvailles, des routes qui se séparent, rien ne se passe comme elle l'avait prévu.


7,90

Lorsque les douaniers m'ont trouvé, tapi au fond d'un camion à la frontière française, j'avais douze ans et j'étais seul. Je n'arrêtais pas de répéter "jemapèlblèzfortunéjesuicitoyendelarépubliquedefrancecélapurevérité".
Je ne savais pas que mon passeport était trafiqué, et en dehors de ces quelques mots, je ne parlais que le russe. Je ne pouvais pas expliquer comment j'étais venu du Caucase jusqu'ici, dans le pays des droits de l'homme et de Charles Baudelaire.
Surtout, j'avais perdu Gloria. Gloria Bohème, qui s'était occupée de moi depuis que ma mère avait disparu. Avec elle, j'avais vécu libre, malgré la guerre, malgré les frontières, malgré la misère et la peur. Elle me manquait terriblement, mais j'ai toujours gardé l'espoir de retrouver cette femme au coeur immense, qui avait le don d'enchanter ma vie.