Croquelinottes L.

Conseillé par (Libraire)
21 février 2016

Nous avions été séduits par l’intelligence et la délicatesse de Contes en haïku.
Agnès Domergue et Cécile Hudrisier se sont penchés, pour notre bonheur renouvelé, sur les Fables de La Fontaine. Nous voilà donc repartis dans la pêche aux indices, fouillant dans notre mémoire littéraire, nous délectant dans la reconnaissance de la Fable évoquée, jubilant de notre culture partagée.

Conseillé par (Libraire)
18 février 2016

Tout en délicatesse

Vingt contes classiques sont évoqués – susurrés - sur une double-page : à gauche par un haïku (Agnès Domergue), à droite par une illustration à l’aquarelle (Cécile Hudrisier).

Un objet précieux, très agréable au regard et au toucher, solide couverture, beau papier coloré.

Un livre-jeu qui fait qu’on se sent intelligent : quelques mots bien pensés suffisent à faire émerger le conte, quelques détails dessinés renvoient immédiatement à l’un de ces bijoux de notre patrimoine commun.

Un album dans lequel textes et illustrations rivalisent de délicatesse.

Contes en haïkus, Agnès Domergue, Cécile Hudrisier, Editions Thierry Magnier, 11€.

ClaireD

Conseillé par (Libraire)
18 février 2016

Tout en délicatesse

Vingt contes classiques sont évoqués – susurrés - sur une double-page : à gauche par un haïku (Agnès Domergue), à droite par une illustration à l’aquarelle (Cécile Hudrisier).

contesenhaikus

Un objet précieux, très agréable au regard et au toucher, solide couverture, beau papier coloré.

Un livre-jeu qui fait qu’on se sent intelligent : quelques mots bien pensés suffisent à faire émerger le conte, quelques détails dessinés renvoient immédiatement à l’un de ces bijoux de notre patrimoine commun.

Un album dans lequel textes et illustrations rivalisent de délicatesse.

Contes en haïkus, Agnès Domergue, Cécile Hudrisier, Editions Thierry Magnier, 11€.

ClaireD

Kaléidoscope

Conseillé par (Libraire)
13 février 2016

c'est juste bien!

Dans C’est juste Stanley, les membres de la famille Wimbledon sont dérangés dans leur sommeil par les activités quelque peu bruyantes du chien Stanley. Infatigablement, il semble qu’il répare la cuve à mazout, prépare un bouillon de poisson, débouche la baignoire. Malgré son mutisme, c’est bien autour de ce personnage de Stanley, montré en hyperactivité, que le récit tourne.
On croit avoir affaire à un récit du quotidien empreint d’humour et de fantaisie, à un mini drame familial dans un « picture book » à la John Burningham. L’album recèle quelque chose de très british, on pense à Wallace et Gromit. Mais la fin, percutante, fait prendre au livre une dimension inattendue, extraordinaire et romantique…

La chute, réjouissante, assez abrupte, donne en effet un nouveau jour au début du récit.

ClaireD

L'Atelier du Poisson Soluble

15,00
Conseillé par (Libraire)
13 février 2016

Jenny la cowboy
Un album drôle, pêchu qui joue la répétition dans le texte, l'audace dans l'illustration et qui met en scène une petite teigne en santiags à la recherche de celui qui a osé laisser des traces sur sa monture à bascule...Un livre qui se prête idéalement à une lecture à voix haute sur laquelle on collerait bien une célèbre musique de western spaghetti...